mardi 29 octobre 2019

La 3e plainte d’Églantine Laval classée sans suite : le joli cadeau d’anniversaire de la Justice

Mardi 29 octobre 2019. C’est mon anniversaire mais ce n’est pas parce que je prends un an que je suis de mauvais poil. Je suis convoqué à 10h30 au commissariat de Saint-Denis pour une plainte en diffamation. Motif du délit ? Un post de décembre 2018 [lire en bas] dans lequel je relate l’issue, devant la cour de cassation, de l’interminable feuilleton judiciaire qui m’oppose depuis 3 ans à une certaine Églantine Laval, qui m’accusa mensongèrement de l’avoir frappée à coups de poing, alors que je m’étais borné à lui demander, sur un ton évoquant certes davantage Charles Pasqua que Bourvil : “Et vous arrivez à dormir la nuit ?”
L’histoire, tordue à souhait, digne d’un roman de Boileau-Narcejac, est résumée dans ce papier du 8 janvier 2016, à lire dans son intégralité ici.

Le compte-rendu de mon procès en appel (mars 2018), qui me valut une première plainte en diffamation d’Églantine Laval (classée sans suites).

Enfin, le papier du 27 décembre 2018, qui m’a valu les (ultimes) foudres d’Églantine Laval.

À 12h23 ce 29 octobre, 1h53’17” après le début de mon audition, un courriel du gardien de la paix qui m’auditionna m’apprend que le parquet a tranché : l’affaire est classée.

Afin de prouver à la lumineuse Églantine Laval, qui ne manquera pas de lire ces lignes, attachée qu’elle est au suivi des rocambolesques plaintes en justice dont elle m’inonda ces trois années durant, que je ne suis pas un méchant garçon impétueux et rancunier, je lui adresse tous mes vœux de bonheur et de réussite dans la vie. Et l’informe que mon ultime polar, Et vous arrivez à dormir la nuit ?, si le grand âge qui vient de me tomber dessus me laisse la lattitude de l’écrire, lui sera aimablement dédicacé, conjointement à Mme la juge montreuillote Vanessa Lepeu, qui sait ce que je lui dois dans cette affaire regrettable.

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