La suite de cette critique sur Double Marge, le webmagazine des littératures et des arts, où je tiens une rubrique cinocheuse (et parfois littéraire) mensuelle.
Où il est question des choses me passant par la tête, y compris celles n’ayant rien à voir avec la littérature, telles que ma PASSION (platonique) pour les POULES, mon amour de la LANGUE BÉNUCHOTE et mon AVERSION (épidermique) pour les POULETS.
samedi 4 janvier 2020
“La Vie invisible d’Eurídice Gusmão”, un film (magnifique) de Karim Aïnouz
Il y a des films qui s’installent tranquillement, laissant à votre cerveau le temps de s’accomoder. Et il y a ceux qui vous accrochent dès le premier plan. C’est le cas de La Vie invisible d’Eurídice Gusmão, septième film de Karim Aïnouz, récompensé à Cannes par le prix Un certain regard, adaptation on ne peut plus libre d’un roman de Martha Batalha traduit en français en 2017 sous le titre Les mille talents d’Eurídice Gusmão. Dès l’entrée en matière, les deux sœurs, Euridice et Guida, crèvent l’écran. Le film vous emporte tel un torrent, pas le temps de respirer…
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