vendredi 31 janvier 2020

”Le lac aux oies sauvages”, de Diao Yinan, quand la surenchère de virtuosité et d’esthétisme confine à l’indigence

Applaudi à tout rompre et à Cannes par Tarantino, ce qui n’est pas forcément bon signe, et en tout cas pas un gage de qualité, Le Lac aux oies sauvages, du Chinois Diao Yinan, a enchanté une critique en génuflexion, à l’exception notable de Libérationqui sauve l’honneur et évoque les « néons et néant » d’un « produit flashy et artificiel », « édifié comme une avalanche de prouesses flagrantes d’une bêtise sans nom ».
Ma chronique sur ce film tape-à-l’œil, ennuyeux, fort indigeste sur Double Marge.

Je propose aussi une critique comparée avec le fort réjouissant film de Takashi Miike, “First love, le dernier yakuza”.

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