Applaudi à tout rompre et à Cannes par Tarantino, ce qui n’est pas forcément bon signe, et en tout cas pas un gage de qualité, Le Lac aux oies sauvages, du Chinois Diao Yinan, a enchanté une critique en génuflexion, à l’exception notable de Libération, qui sauve l’honneur et évoque les « néons et néant » d’un « produit flashy et artificiel », « édifié comme une avalanche de prouesses flagrantes d’une bêtise sans nom ».
Ma chronique sur ce film tape-à-l’œil, ennuyeux, fort indigeste sur Double Marge.
Je propose aussi une critique comparée avec le fort réjouissant film de Takashi Miike, “First love, le dernier yakuza”.
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