Pendant que François Salachas, neurologue à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, met les points sur les “i” à Emmanuel Macron, l’homme qui dézingue l’hôpital public, l’école publique, la justice, le système de retraites par répartition, et envoie ses flics crever les yeux des manifestants, etc. – certaines mauvaises langues, proches des Gilets jaunes, l’ont surnommé l’envoyé spécial de la mort ! –, un autre neurologue, Olivier Véran (dont les dents, dit-on, rayent si affreusement le parquet qu’il ne se séparerait jamais de son odontologue) préconise, pour conjurer une épidémie qui a touché 38 personnes en France (sur une population de 65 millions de personnes) de “ne plus se serrer la main”.
“Une mesure précise, simple, pratique, qui ne coûtera pas cher au contribuable !” s'est aussitôt réjouie Sibeth Ndaye, la porte-parole (toujours avisée) du gouvernement.
Dans un pays gouverné par une bande de cerveaux fétides, d’énarques malfaisants, de bras cassés, de fraudeurs fiscaux, de flics qui visent directement la tête, de milliardaires sans foi ni loi, assistés de magistraux et de préfets fascitoïdes, voilà qui est d’une logique et d’une symbolique implacables : on ne serre plus la main, et on s’en lave les mains (au propre comme au figuré) !
Olivier Véran, ministre de la Santé; et Jérôme Salomon, directeur général de la Santé |
Le combat est lancé : à ma gauche, François Salachas, le neurologue qui recommande d’ouvrir les bras, le cœur et les mains. À ma droite, Olivier Véran, le neurologue qui préconise de ne plus se tendre la main.
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L’homme de Macron énucléant le peuple (début XXIe), par Krokus |
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