Ouvert la nuit, rue du Faubourg-Saint-Antoine / Goéland, rue d’Aligre
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Rue de Lyon / Bar des Familles, rue de Lappe |
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Blue hôtel / Rue de Candy
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Rue de Citeaux / Rue de la Roquette |
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Geste technique, avenue Daumesnil / Foot, boulevard Diderot
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De l’air / Avenue Daumesnil
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Bouderie, rue de Charonne / Rue côté cour |
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Jogging et confinement / Boxe, passage Brulon
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La balade du confiné |
Si vous avez loupé les épisodes précédents :
La dame qui cherchait des fleurs à l’ombre de l’usine d’incinération des ordures (#47) / On ne veut plus de leur monde, par Val du Faure (#46) / L’Ange exterminateur. 58 ans avant le Covid-19, le film de confinement de Luis Buñuel (#45) / Je venais de nourrir les renards du Père Lachaise quand les flics me sont tombés dessus, par Jules Bénuchot (#44) / Les linceuls n’ont pas de poches, par Philippe Leleux, libraire (#43) / Faute de protections, des soignants souffrent, contaminent et succombent, par Mediapart (#42) / Le corbeau au cerveau confiné et la couturière empêchée de fabriquer les masques (#41) / Mon cœur, mon cœur, calme-toi, ça va aller, on s’en sortira, par Anne Tardieu (#40) / Plus terrible que le coronavirus : le macronavirus (Covid-22 à double souche outrage et rébellion (#39) / Grands prédateurs. Charles Ruggieri et Sophie Boissard, fondateur et PDG des Ehpad Korian (#38) / “T’as voulu voir le salon”, le tube de l’été confiné (#37) / Macron, tes « jours heureux », tu peux te les mettre quelque part ! (#36) / Voyage (anxiogène) dans le métro avec Le Parisien sous le bras et un autre à portée de postillon (#35) / La prophétie du canard madré (# 34) / Le 11 mai, ça ne passe pas, M. Blanquer, par Laurine Roux, enseignante (#33) / Si les hôpitaux ont tant souffert, ce n’est pas la faute d’un pangolin, mais celle du gouvernement, par Iven, infirmier aux urgences (#32) / Exclusif. Le classement « ConfinFrance » des préfets préférés de Castaner (#31)
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