Ce qui me ravit car bien avant que d'avoir injurié (et traumatisé) un pauvre flic qui ne faisait que son travail, j'ai toujours considéré que le mot d'insulte devait être considéré comme un genre littéraire à part entière et non pas comme un prurit nosocomial de la langue française comme semblent le croire certains gougnafiers de la chose, tel – je prends un exemple au hasard – Nicolas "Je suis partout" S. et son pitoyable "casse-toi pov' con" d’une pauvreté sémantique assez confondante…
Le 6 juin à 14h, concours de vocalises (sans insultes ni injures, tout en douceur) à la médiathèque de Villepinte (93).
Le dimanche 28 juin, dans le cadre du 2e salon du polar d’Eaubonne, organisé par mon vieux pote Alain Mornac et l'association Ulysse, j’irai raconter quelques coquecigrues à un débat sur le thème paradoxal et iconoclaste POUR EN FINIR AVEC LA LITTERATURE POLICIERE, avec Nicolas Jaillet, Laurent Fétis et Pierre Filoche, tous trois complices (très mal élevés) des éditions Après la Lune.
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