Quand j’étais môme, mon grand-père Eugène me disait: "La poule, c’est comme le cochon, tout est bon… Mais moi, c’que je préfère, c’est le pilon…" Quelques décennies plus tard, je me mis en tête de raconter mes souvenirs et mes fantasmes d’endormeur de poules, dans un roman de terroir totalement halluciné qui parut aux éditions Flammarion en décembre 2000, grâce aux bons soins d’un éditeur philosophe totalement halluciné (hélas décédé en août 2003), Dominique-Antoine Grisoni, qui me fit ce magnifique cadeau.
Ce roman, sorti entre un roman du génie des particules Houellebecq et un roman du génie charismatique Picouly (donc quantité négligeable), se vendit à 1.225 exemplaires et obtint le très convoité Grand prix de la Mayenne 2000, qui me permit de renouer avec Paulette, ma maîtresse adorée de l’école de Madré (Mayenne). Je viens seulement d’apprendre, (presque) par hasard, qu’il a été pilonné il y a quelques années par l’éditeur, sans que j’en aie été informé (en violation totale du contrat que j’avais signé avec cette noble maison, qui vient d’entrer dans le giron gallimardien). Sacré Eugène, que ne t’ai-je écouté!!!! Que ne suis-je devenu puisatier, maçon ou bedeau, au lieu de persister à embrasser la "carrière" d’écrivain…
Ce roman, sorti entre un roman du génie des particules Houellebecq et un roman du génie charismatique Picouly (donc quantité négligeable), se vendit à 1.225 exemplaires et obtint le très convoité Grand prix de la Mayenne 2000, qui me permit de renouer avec Paulette, ma maîtresse adorée de l’école de Madré (Mayenne). Je viens seulement d’apprendre, (presque) par hasard, qu’il a été pilonné il y a quelques années par l’éditeur, sans que j’en aie été informé (en violation totale du contrat que j’avais signé avec cette noble maison, qui vient d’entrer dans le giron gallimardien). Sacré Eugène, que ne t’ai-je écouté!!!! Que ne suis-je devenu puisatier, maçon ou bedeau, au lieu de persister à embrasser la "carrière" d’écrivain…
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