lundi 28 décembre 2009

De Gaulle, van Gogh, ma femme et moi : où il est prouvé que le gaullisme est soluble dans la peinture à l'huile

Juillet 1890, Vincent van Gogh se suicide à Auvers-sur-Oise. Quatre mois plus tard, Charles de Gaulle voit le jour. Ces deux-là n'avaient donc aucune chance de se rencontrer. Pourtant, grâce à Bernard Maresquier, retraité de la chaussure obsédé par les chevilles des femmes, gaulliste historique, grand mangeur de yaourts, la recontre va avoir lieu, sous les yeux ébahis de l'écrivain Philippe Solex et de son fidèle assistant Michel Welbeck, l'écrivain dépressif au regard de poisson mort.
Éditions Après la Lune
collection Lunes Blafardes

Patrick Galmel (qui s’y connaît) en dit grand bien sur son site Polarnoir.
De même que Clara da Silva, libraire à la FNAC Saint-Lazare, qui en fit son coup de cœur : “L'imagination de Jean-Jacques Reboux ne connaît aucune limite. De fait, l'histoire est inracontable. Sachez néanmoins que Bernard Maresquier, chausseur à la retraite, a de grandes conversations avec De Gaulle et qu'il a un secret à vous révéler. Hilarant.”

La plaidoirie de Me Joanne Dakessian, avocat au barreau de Marseille, défendant De Gaulle, van Gogh, ma femme et moi, lors de la remise du prix du Polar marseillais 2017, a été récompensée par le 3e prix du concours d'éloquence des avocats.

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