
Samedi 8 et dimanche 9 juin se tint donc, pointe Poulmarch, loin des médias (à l’exception notable de
Télérama.fr), le premier (et dernier)
Printemps bénuchot. Il fut à la fois magnifique et éprouvant (pour votre serviteur), pour des raisons indépendantes de ma volonté, dues à la présence des crétins-influenceurs de
Papagayo.communication, qui s’étaient installés là sous la moindre autorisation (alors que nous disposions de celles de la Mairie de Paris, de la préfecture de police et du syndic de copropriété du mur de street-art), empêchant nos attachées de fresque Audrey et Hélène Malherbe de réaliser la fresque envisagée, laquelle fut recouverte, 24 heures plus tard (record battu à la pointe Poulmarch !).
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Nicolas Jaillet, Liz Cherhal, J.-J. Reboux |
En attendant que je reprenne mes esprits (je me suis pris une grosse mandale dans la tronche de la part d’un vigile décérébré, ce qui fait très mal, et aussi très peur – car, non content de privatiser sans vergogne l’espace public, Mme Carine Arasa et ses amis disposent de suffisamment d’argent pour se payer les services de vigiles – pour vous narrer comment se passa ce magnifique festival, qui se termina en chansons, avec
Nicolas Jaillet,
Liz Cherhal et
Morvan Prat, vous pouvez lire
le compte-rendu de Jocelyne Hubert sur le site Fondu au noir, qui critiqua
sur ce même media le roman L’Esprit Bénuchot, lors de sa sortie avortée, en 2016.
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